Exercices
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Le plus-que-parfait (pluperfect) (i.e. il avait fait..) se construit en français moderne en mettant
l’auxiliaire (avoir ou être) à l’imparfait. Trouvez un exemple dans le texte où
l’on met l’auxiliaire au préterit (passé simple) au lieu de l’imparfait.
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Les contractions (au = à + le, aux = à + les, du = de + le, des = de + les) existent
toujours en français moderne. Trouvez dans le texte les équivalents de ces termes ainsi que
d’autres contractions basées sur en, ne, je + le/les, ces dernières n’existant plus en
français moderne.
- Certains mots en ancien français ne subsistent pas dans la langue moderne. Trouvez dans le
texte les équivalents en ancien francais des expressions “il (lui) faut”, “sur-le-champ”, “rester”, et “avertir”. Lesquels
de ces termes subsistent
aujourd’hui mais dans une autre langue que le français?
- Trouvez dans le texte trois exemples de l’imparfait du subjonctif. Quelle est sa fonction dans
la phrase, i.e. comment est-ce qu’on dirait la même chose en français moderne?
- Donnez la déclinaison du mot “asne” (avec son article défini
approprié) au singulier et au pluriel des cas sujet et régime.
- Repérez dans le texte toutes les phrases au négatif. D’après les exemples
que vous avez trouvés, est-ce que c’est le “ne” ou bien le “pas” (ou équivalents) qui
vous semble la partie la plus importante pour signaler la négation? Comparez avec la négation en
français moderne.
- Que signifie le mot “nul” au v. 30, i.e. comment dire la même chose en
français moderne? Commentez la différence entre le v. 30 et le v. 51 où le même mot est
utilisé (“nus”) mais dans une construction négative cette fois-ci.
- Les mots “ja”, “ainz” et “molt”, sont très typiques
de l’ancien français. Donnez le sens de ces mots ainsi que leurs équivalents en
français moderne.