Exercices

  1. Le plus-que-parfait (pluperfect) (i.e. il avait fait..) se construit en français moderne en mettant l’auxiliaire (avoir ou être) à l’imparfait. Trouvez un exemple dans le texte où l’on met l’auxiliaire au préterit (passé simple) au lieu de l’imparfait.
  2. Les contractions (au = à + le, aux = à + les, du = de + le, des = de + les) existent toujours en français moderne. Trouvez dans le texte les équivalents de ces termes ainsi que d’autres contractions basées sur en, ne, je + le/les, ces dernières n’existant plus en français moderne.
  3. Certains mots en ancien français ne subsistent pas dans la langue moderne. Trouvez dans le texte les équivalents en ancien francais des expressions “il (lui) faut”, “sur-le-champ”, “rester”, et “avertir”. Lesquels de ces termes subsistent aujourd’hui mais dans une autre langue que le français?
  4. Trouvez dans le texte trois exemples de l’imparfait du subjonctif. Quelle est sa fonction dans la phrase, i.e. comment est-ce qu’on dirait la même chose en français moderne?
  5. Donnez la déclinaison du mot “asne” (avec son article défini approprié) au singulier et au pluriel des cas sujet et régime.
  6. Repérez dans le texte toutes les phrases au négatif. D’après les exemples que vous avez trouvés, est-ce que c’est le “ne” ou bien le “pas” (ou équivalents) qui vous semble la partie la plus importante pour signaler la négation? Comparez avec la négation en français moderne.
  7. Que signifie le mot “nul” au v. 30, i.e. comment dire la même chose en français moderne? Commentez la différence entre le v. 30 et le v. 51 où le même mot est utilisé (“nus”) mais dans une construction négative cette fois-ci.
  8. Les mots “ja”, “ainz” et “molt”, sont très typiques de l’ancien français. Donnez le sens de ces mots ainsi que leurs équivalents en français moderne.